Avant sa venue à la médiathèque le mercredi 7 mai 2014, Axl Cendres se dévoile un peu et nous fait son portrait de lectrice...
Que lisez-vous en ce moment ?
Pourquoi j’ai mangé mon père de Roy Lewis. L’histoire savoureuse d’une famille préhistorique qui découvre l’évolution et ses conséquences, c’est drôle et inventif, un livre qui fait sourire et réfléchir à la fois, "what else ?" comme dirait l’autre.
Que lisiez-vous étant adolescente ?
Principalement des poètes dépressifs : je suis passée sans transition de Picsou magazine à Baudelaire et ses potes.
Quel est votre plus vieux souvenir de lecture ?
Toinou, le cri d'un enfant auvergnat, ça raconte la trajectoire d’un gamin pire que Causette, je me souviens que j’ai mis des mois à le lire, parce que je ne comprenais pas tout – faut dire que certains dialogues étaient écrit en patois… j’ai donc décidé de laisser tomber la littérature pour Picsou magazine.
Quels sont vos auteurs préférés ?
Les poètes dépressifs donc, mais aussi Céline (pas Dion, l’autre), Nabokov, Bukowski, Chuck Palahniuk, Dostoïevski, Nick Hornby, Marguerite Duras, Romain Gary, Hubert Selby JR – ainsi qu’un vieux canard radin qui a pour neveu Donald Duck !
Le fait de travailler avec le public adolescent a-t-il une signification particulière pour vous ?
Et comment ! L’adolescence est un moment de la vie où l’on est dans une sorte d’éveil émotionnel, on ressent tout plus fort, comme si on avait un superpouvoir. Travailler avec ce public représente une chance à mes yeux.
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