Extrait :
« On le saluait toujours Adolf, on oubliait jamais… C’était devenu un réflexe. On rentrait, on posait nos affaires dans l’entrée, on levait le bras bien droit : Heil Hitler ! Si on ne le disait pas assez fort, on s’en prenait une.
Du coup personne ne venait jamais à la maison. Personne. »
Le livre en trois mots :
Violence, injustice, liberté.
Ce livre m’a fait penser à :
La chanson L’aigle noir de Barbara
Pour en savoir plus sur l’auteur :
Elise Fontenaille a aussi écrit Les trois sœurs et Le dictateur, Eben ou les yeux de la nuit, La cité des filles choisies
et
Extrait :
« A un moment un flic m’a vu, il a voulu me chourer ma caméra-je sais il avait pas le droit mais les flics ont tous les droits-j’ai filé comme un rat et je suis rentré chez moi. Le soir même, j’ai fait le montage et j’ai tout balanceé sur Viméo.Jibé a été bluffé, Ophélie aussi :
-Notre Darwin est devenu grand reporter… »
Le livre en trois mots :
Réfugié, Banksy, street art
Ce livre m’a fait penser à :
OX un artiste de street art bagnoltais
Pour aller plus loin, vous pouvez (ré)écouter l’émission l’Attrape-livres sur France Inter
et voir la chronique ActuSF (chronique filmée du comité de lecture de la bibliothèque de Montreuil, le Kridézados)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire